Ce second atelier s’intéresse à la contre-insurrection et au contre-terrorisme ; deux des domaines clés du renforcement des capacités. Les débats dans ces secteurs s’orientent souvent autour de l’éthique, des coûts et de l’efficacité des interventions directes et de l’entraînement de partenaires, des questions de légitimité locale ou encore des difficultés à soutenir des gouvernements instables. À la suite de la pandémie de COVID-19, la contre-insurrection et le contre-terrorisme sont-ils toujours prioritaires pour des bailleurs de fonds externes soumis à une crise économique ? Comment la pandémie affecte-t-elle la coopération et le développement de connaissances dans les opérations de renforcement des capacités ? Comment la crise actuelle modifie-t-elle les stratégies adoptées, notamment en ce qui concerne le contact avec des armées partenaires, la prise en compte des inégalités de genre et ethniques face à la pandémie, ainsi que la priorité accordée aux soins de santé ? Ces changements persisteront-ils ?
Nov
19
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